L’immense succès des sites de rencontre, dont l’un des initiateurs est Marc Simoncini créateur de Meetic, devient un vrai phénomène de société.
Certes, il y a 18 millions de célibataires en France, entre les jeunes qui n’ont jamais été en couple volontairement ou non, les séparés ou divorcés, les veuves et les veufs de toutes générations et les personnes âgées.
Certes, internet prend la place de tous les contacts visuels d’avant.
Certes, on est impatient maintenant dans tous les domaines et la rapidité prend le pas sur la réflexion parfois.
Certes, le phénomène des sites de rencontre, un peu ringardisé au début, devient tendance quel que soit l’âge de l’internaute.
Mais, autant d’internautes sur ces sites et autant de motivations différentes et de comportements singuliers.
Les déçus de l’amour, les paumés après une rupture, les dragueurs ou dragueuses, les indécis, les volontaires, les refusés par tout le monde, les trop âgés, les trop éloignés de grandes villes.
Bien sur quelques conseils élémentaires peuvent atténuer la déception éventuelle.
Ne pas plonger dans le fantasme du virtuel en se disant « c’est bon cette fois-ci j’ai trouvé ».
Ne pas être trop méfiante ou sur ses gardes, on est sûr de ne pas être positif. Ne pas prendre cette démarche de recherche à la légère si l’on est déterminé à refaire ou faire sa vie de couple, mais ne pas non plus croire que cette démarche du site est l’unique façon de rencontrer des personnes.
Comment faisait on avant internet ? On sortait dîner chez des amis qui vous présentaient les leurs. On draguait quand on était étudiant ou collègues de travail. On flashait dans un bar et on entamait une conversation.
On allait certainement plus vers l’autre que de nos jours. Curieusement, les techniques modernes de communication hyper sophistiquées rendent peut-être timide. On se cache derrière son écran, son mobile, ses e-mails.
Bougez, bougeons, rencontrons !
